Les breaks Dacia 1310

Dacia 1310 Break Phase 1

Dacia 1310 TX Break Phase 2

Dacia "Estate Wagon" Phase 2

Dacia 1410 Break Phase 2

Une Delta Galidi grecque

Le break Dacia 1310 TD, show car mort-né.

Dacia 1310 Break Phase 3

1310 Break
1310 F, 1310 S, 1310 Break Combi

Comme pour la berline, la 1310 Break fait suite au break 1300 en 1980. Le Type Mines du break deuxième génération est désormais R13311. La version 1310 F, décrite comme un fourgon, est en faite simplement un break 1310 standard dont les vitres arrière, les custodes et le hayon sont occultés. La 1310 S est une ambulance avec seulement un siège derrière le conducteur, afin de pouvoir caser une civière. La 1310 Break Combi voit sa banquette arrière retirée pour augmenter le volume du coffre.

1310 TD

Le show-car break Dacia 1310 TD possède un moteur diesel turbocompressé de 72 cv (1597 cc) et une boîte de vitesses à 5 rapports synchronisée. À une vitesse de 120 km/h en cinquième, la consommation est aux alentours de 5,2 litres au 100 km sur route, et de 7,6 litres en ville. Autre avantage : il possède le tableau de bord de la Phase 1 avec sa grande boîte à gants, un grand toit ouvrant en verre, et un capitonnage de portières en mousse injectée bleu marine, ainsi que des jantes plus solides. Hélas la 1310 TD restera un simple show-car, un haut de gamme sans lendemain dans une Roumanie où personne ne peut se payer de tels modèles.

1410 Break
Galidi/Denem

En 1983, le break est restylé une première fois, comme la berline, en version 1.4 sous la désignation Dacia 1410 et à l'exportation vers la Grèce comme Delta Galidi.

Break
Cristal

Le break subira un nouveau redesign de l'avant durant les années 90, d'abord présenté sous la forme du prototype Break CT (qui diffère du modèle de série par ses jantes de Nova, ses optiques intégrées au pare-choc et ses éclairages de plaques d'immatriculation). Cette Phase 4 est reconnaissable à sa calandre plutôt disgracieuse, ses baguettes latérales et ses parechocs en plastique. Une version

Une version d'exportation 1.6 Diesel, avec un moteur Volkswagen, sera aussi commercialisée à environ 150 exemplaires dans les années 90 sous le nom de Dacia Cristal.

Break

La Dacia Break connaîtra un restylage ultime sous l'égide de Renault. Elle sera encore fabriquée en petit nombre jusqu'en 2003. Même si cette dernière moûture présente un avant redessiné et des poignées de porte encastrées, ce qui est frappant c'est que les lignes générales du modèle n'auront pratiquement pas changé depuis l'origine.

En 2000, Dacia produira sa première série limitée, intitulée Dacia Dedicaţie (dédicace). Cette version luxueuse du break (et de la berline) se reconnaît aux jantes en alliage, aux pare-chocs couleur carrosserie, à la direction assistée, aux vitres électriques, à une livrée argentée deux tons, et à un niveau de finition général bien supérieur, d'où un prix bien plus élevé que les versions normales.

Le 21 juillet 2004, la dernière Dacia 1310 quitta les chaînes de production de l'usine de Mioveni, un mois tout juste avant le 35e anniversaire du modèle. La production du break s'arrêta également. Bien que de nombreuses améliorations aient été apportées au cours des dernières années, telles que le remplacement du tableau de bord par celui de la Solenza, l'entrée de la Roumanie dans l'Union Européenne empêcha dans les faits la poursuite de ce modèle trop ancien.

Voir aussi les breaks Dacia 1310 4x4.

Voir aussi le MaxiBreak.

Voir aussi les breaks et vans sur base de Dacia 1310 pick-up.

Voir aussi les versions Double Cab
(sur base break Phase 4).

Voir aussi les breaks Dacia 1300.

Dacia Break CT (prototype de la Phase 4)

Présentation officielle du Break Phase 4

Un arrière pratiquement inchangé

Même en Phase 4, le Break reste une R12 !

Un avant fluide et un arrière anguleux

Le Break en série limitée "Dedicatie".